En 2006, ils sont allés séparément devant leurs électeurs. Ils, ce sont les ténors de la classe politique nationale qui ont décidé aujourd’hui de se mettre ensemble. L’Union fait la Nation, disent-ils.
Mais l’union fait aussi la force, ce que démontre la somme arithmétique des scores obtenus par les membres de l’UN en 2006. Seulement, la politique a ses secrets qui rendent difficile le pronostic pour 2011. Sinon, que Adrien Houngbédji ait réuni en 2006, 24,13%, Bruno Amoussou, 16,23%, Léhady Soglo, 8,41%, Antoine K.
Idji, 3,24%, Lazare Sèhouéto, 2,03%, Sévérin Adjovi, 1,77%, la force de frappe de ceux-là était alors de 55,81%. Réalité de 2006 qui pourrait se répéter en 2011 et dont doivent alors tenir grand compte Boni Yayi et ses collaborateurs dans leurs stratégies et actions.
La Rédaction