Société

Quand on parle de valorisation de la gent féminine au Bénin, il y a des femmes qui tiennent lieu de référence. Des femmes qui font parler d’elles en tant que pionnières dans divers domaines. Quatre d’entre elles nous entraînent ici dans leurs parcours professionnels pour donner aux jeunes leurs secrets de réussite sociale.

De quoi le Bénin peut-il se prévaloir pour prétendre à l’émergence, un concept en vogue depuis plus de 3 ans ? Du coton dont la production est en chute libre ? Assurément non. Pas plus que de son produit essentiel, le textile béninois, dont les années de gloire ne sont actuellement qu’un vieux souvenir pour les Béninois.

Le sens de Dieu dans nos problèmes. Des nuages noirs s’amoncelaient tandis que Ramu avançait lentement sur le chemin rocailleux qui menait à la maison de son voisin. Il était mal à l’aise.

Un brillant orateur raconte un jour, « lorsque j’étais adolescent, le programme scolaire incluait une conférence de quarante-cinq minutes que chaque élève devait préparer et donner devant sa classe. J’en avais une telle hantise que je tombais malade à chaque fois que ce devrait être mon tour.

La trilogie « femmes, mariage, maternité » nous est parfois présentée comme le parcours idéal-type de la réussite sociale féminine. De ce point de vue, le mariage et l’expérience de la maternité seraient les voies de reconnaissance sociale de la valeur féminine.

Jean-Marie Ehouzou, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l’Extérieur, était, le jeudi 25 février 2010, face à la presse béninoise. Accompagné pour la circonstance du médiateur de la République, le professeur Albert Tévoédjrè, les échanges ont tourné autour de deux axes majeurs.

Les questions sont parfois comparables à des icebergs. L’essentiel est dissimulé sous la surface. La question exprimée en cache souvent une autre bien plus importante.

Fin des grèves perlées dans l’Enseignement supérieur au Bénin. C’est du moins ce qu’on est tenté de dire, suite à la signature la semaine écoulée, du décret devant régulariser la situation des enseignants par le chef de l’Etat. Par ce geste, le président Boni Yayi vient de sauver l’année académique 2009-2010. Un ouf de soulagement pour les étudiants et étudiantes déjà hantés par le souffle d’une année blanche.

La Quand tu rentres chez toi, écarte les soucis des affaires. Il y a des heures pour le travail mais il y a aussi des heures pour vivre. Ne laisse pas la mauvaise herbe des préoccupations envahir ton intérieur.

La timidité, d’ordinaire nous rend désobligeant. C’est très souvent parce que l’on est craintif qu’un chien peut nous mordre. La timidité est comme une carapace qui dissimule notre vraie nature.

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